AA.VV.: L’art des frères d’Amboise. Les chapelles de l’hôtel de Cluny et du château de Gaillon (catalogue des expositions présentées au Musée national du Moyen Age – Thermes et hôtel de Cluny à Paris jusqu’au 11 février 2008 et au Musée national de la Renaissance à Ecouen jusqu’au 4 février 2008), 21 x 27 cm, 128 p., 90 ill. en couleur, ISBN 978-2-7118-5296-3, 25 euros.
(Réunion des musées nationaux, Paris 2007)
 
Compte rendu par Sabine Berger, Université Paris IV - Sorbonne
 
Nombre de mots : 2808 mots
Publié en ligne le 2008-09-12
Citation: Histara les comptes rendus (ISSN 2100-0700).
Lien: http://histara.sorbonne.fr/cr.php?cr=208
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Ce catalogue accompagne les expositions qui se sont tenues parallèlement jusqu’au début de l’année 2008 au musée national du Moyen Âge à Paris et au musée national de la Renaissance à Ecouen. Consacrées au mécénat d’une famille de prélats très influente dans la France des années 1500, les Amboise, cette double manifestation exceptionnelle due à la collaboration étroite entre les deux musées, marqua en outre le trentième anniversaire de l’ouverture du musée national de la Renaissance.

À Georges d’Amboise, un des principaux ministres de Louis XII, archevêque de Rouen, cardinal et légat du pape, nous devons le château des archevêques de Rouen à Gaillon. Jacques d’Amboise est quant à lui à l’origine de la construction de l’hôtel de Cluny à Paris. Ces réalisations impressionnantes, commandées à des artistes français et italiens, témoignent de la puissance comme du goût de ces hommes et comptent, en dépit des disparitions et multiples remaniements, parmi les édifices les plus marquants de la fin du Moyen Age en France.

Le catalogue s’organise en deux parties principales, complétées d’annexes.

 

L’avant-propos et la préface rappellent au lecteur la genèse du projet d’exposition : en amont, la redécouverte grâce au travail de Jacques Dubois de la structure originelle de la clôture de la chapelle haute de Gaillon à partir des fragments non remontés, conservés dans les réserves du fort d’Ecouen. Présenter l’ensemble de la clôture à l’occasion d’une manifestation dédiée à la chapelle de Gaillon était une entreprise stimulante, et l’idée vint d’y associer d’autres monuments dus aux libéralités des frères d’Amboise. Le musée national du Moyen Âge et le musée national de la Renaissance, issus de la même collection rassemblée par Alexandre Du Sommerard, fédérèrent leurs efforts afin de réaliser une exposition reflétant toute la diversité du mécénat familial. Il fut par ailleurs décidé de mettre en avant le pan le plus significatif de l’action des Amboise : la construction et la décoration de chapelles. La Réunion des musées nationaux a particulièrement soutenu le projet, issu d’une volonté de rapprochement entre les deux institutions. Ce travail fécond a encouragé le musée départemental des Antiquités de la Seine-Maritime à exposer à son tour ces remarquables décors.

 

Une généalogie de la famille d’Amboise permet de constater l’importance des charges ecclésiastiques et politiques des fils de Pierre d’Amboise : Charles I d’Amboise, sénéchal de Poitou, gouverneur de Langres et de Champagne (mort en 1481) ; Jean, évêque de Langres (mort en 1498) ; Aimery, grand maître des Hospitaliers (mort en 1512) ; Louis Ier, évêque d’Albi (mort en 1503) ; Jean, gouverneur de Normandie ; Pierre, évêque de Poitiers (mort en 1505) ; Jacques, abbé de Cluny et évêque de Clermont (mort en 1516) ; et Georges, cardinal-archevêque de Rouen et légat pontifical (mort en 1510).

 

La famille est par la suite replacée dans le contexte du renouvellement de l’entourage du roi dans la seconde moitié du XVe siècle : la petite noblesse et la bourgeoisie marchande de Touraine et du Berry occupent une place de plus en plus importante dans les affaires du royaume. Présentes dans la vie politique, économique et religieuse de l’époque, ces élites jouent également un rôle capital dans le domaine des arts. Les Amboise sont parfaitement représentatifs du phénomène. On retrouve chez les frères une même ambition, ainsi qu’une grande piété et un comportement similaire (bibliophilie, recours à l’héraldique, etc.). La chapelle est l’édifice où transparaissent le mieux ces caractéristiques : chapelles de Jean d’Amboise à Langres et d’Aimery d’Amboise au Temple de Paris (méconnues), chapelles de Jacques d’Amboise à l’hôtel de Cluny, de Louis d’Amboise à Combefa (Tarn), de Pierre d’Amboise à Dissay (Vienne), de Georges d’Amboise à Gaillon (Eure) et, enfin, de Charles II d’Amboise, fils de Charles Ier, dans son château de Meillant (Cher). L’état de ces édifices ou la documentation subsistante autorisent une étude poussée et l’établissement de parallèles. Seul l’exemple de Meillant a dû être écarté, faute de sources (il n’existe aucune monographie sur le château et sa chapelle, à la qualité architecturale cependant indéniable).

 

L’architecture et le décor sculpté de la chapelle de l’hôtel de Cluny sont par la suite présentés. Jacques d’Amboise décida l’édification de cette chapelle à l’extrême fin du XVe siècle, véritable joyau qui pare l’hôtel parisien des abbés de Cluny. Le chapitre débute par la localisation de la chapelle à l’intérieur de l’hôtel et énonce les points à éclaircir : la chapelle est précédée d’une pièce dont la fonction reste indéterminée, peut-être la chambre de l’abbé ; l’hagioscope permettant de suivre l’office semble le résultat d’aménagements postérieurs à la construction de l’ensemble ; la salle basse ouvrant sur le jardin a-t-elle un rôle autre que de passage et d’abri ? On ignore également la titulature de la chapelle, à laquelle n’est rattachée aucune documentation permettant de connaître les activités ou les noms d’éventuels desservants. L’hôtel est fréquenté pendant une période très courte par les abbés de Cluny. La présence d’un important mobilier liturgique, et notamment de stalles (mentionnées par Alexandre Du Sommerard), n’est pas chose certaine.

L’architecture de la chapelle est ensuite examinée : plan, traitement raffiné du voûtement, mouluration des arcs, le maître d’œuvre a fait preuve d’une grande habileté et son inventivité est soulignée à juste titre. D’anciennes représentations de la chapelle permettent de connaître la disposition des baies, au moins jusqu’au XIXe siècle. Plusieurs monuments présentent des analogies frappantes avec la chapelle de l’hôtel de Cluny : le chœur de l’église de Magny-en-Vexin ou le porche de Saint-Etienne-le-Vieux de Caen (voûtement), les chapelles du château d’Amboise et du palais épiscopal de Beauvais (abside en encorbellement).

 

Le décor sculpté de la chapelle a été assez peu transformé au XIXe siècle, hormis le pilier de retombée central. Les culs-de-lampes appartiennent au répertoire flamboyant : leur exécution est particulièrement soignée. Sous une douzaine de dais, tel un collège apostolique, les membres de la famille d’Amboise vivants au moment de la commande du décor de la chapelle étaient figurés dans une attitude de recueillement, tournés vers l’autel. Il subsiste une tête féminine qui pourrait avoir fait partie de cet ensemble. Symbolisant surtout la formidable réussite d’une génération (celle de Jacques d’Amboise), leur identité était révélée par les inscriptions, manifestement d’origine, présentes sur les consoles. La voûte en cul-de-four de l’abside est ornée de sculptures réparties en deux groupes stylistiques nettement différenciés. Mais l’élément le plus notable est sans nul doute la Vierge de Pitié, disparue, dont on sait par ailleurs qu’elle était en place derrière l’autel en avril 1500. La chronologie a été affinée, en particulier grâce à une analyse dendrochronologique de la charpente de la chapelle. Le chantier a pu se dérouler de 1485 (Jacques d’Amboise devient alors abbé de Cluny) aux alentours de 1500 ; cette réalisation parfaitement cohérente préfigure le chantier majestueux de Gaillon.

 

L’évolution de la chapelle après le XVIe siècle est abordée dans le chapitre suivant. Un choix de documents iconographiques anciens éclaire sur les états successifs de la chapelle comme de l’hôtel : un badigeon masqua notamment jusqu’à leur mise au jour en 1834 les peintures de l’abside. La chapelle devint un amphithéâtre de médecine en 1800, puis un atelier d’imprimerie, avant son aménagement par Du Sommerard en 1832. Albert Lenoir supervisa les travaux de restauration qui ont su préserver le parti initial.

 

Peintures murales et vitraux ornant la chapelle de l’hôtel de Cluny sont soumis à une analyse rigoureuse. Le programme décoratif est à la mesure de la qualité architecturale de la chapelle. Les peintures représentant, sur les parois latérales de l’abside, Marie Cléophas et Marie Salomé, auraient été réalisées par un artiste modénois arrivé en France sous le règne de Charles VIII, Guido Mazzoni : le rapport étroit entre ces figures et la Vierge de Pitié amène à s’interroger sur l’existence éventuelle d’un programme unique de décoration de l’abside (une Lamentation à la fois peinte et sculptée). Le cadre monumental dans lequel s’inscrivent les personnages est précisément décrit, et des parallèles avec la production sculptée attribuée à Mazzoni en Italie sont effectués. Son intervention à la chapelle de l’hôtel de Cluny demeure cependant difficile à cerner : les peintures ont-elles été exécutées de sa main ou d’après ses cartons ? On sait simplement qu’il fut également employé à Gaillon par Georges d’Amboise.

Des vitraux ayant autrefois orné la chapelle, il ne subsiste qu’un Portement de Croix. Par chance, dans les réserves du musée national du Moyen Age, ont pu être retrouvés des fragments de la vitrerie originelle, qui consistent en plusieurs têtes de lancettes provenant de l’abside : il a été possible d’y identifier le sommet d’une scène de Descente de Croix, appartenant très certainement à un cycle de la Passion du Christ. Le chapitre s’achève par une intéressante réflexion sur la manière dont ce cycle pouvait s’organiser sur les baies perçant l’abside. Un maître-verrier novateur, s’affranchissant complètement des contraintes du cadre rigide formé par les meneaux, est à l’origine de ces vitraux, dont la proximité avec la gravure parisienne des années 1500 a pu être signalée.

 

Une seconde partie est consacrée aux différentes commandes des frères d’Amboise.

Louis d’Amboise, évêque d’Albi, est le commanditaire de la clôture et du jubé de la cathédrale Sainte-Cécile, mais également d’un corps de logis érigé au palais épiscopal de La Berbie, introduisant les formes du gothique flamboyant dans ces régions méridionales. Les armes des Amboise figurent en outre sur les culots de la chapelle épiscopale, probablement mis en place au cours d’une campagne de rénovation du décor, même si rien n’atteste l’existence d’un chantier durant l’épiscopat de Louis d’Amboise. Il commande encore pour la chapelle de son château de Combefa, au nord d’Albi, une Mise au tombeau (originale par sa composition) conservée aujourd’hui dans la chapelle Saint-Jacques de Monestiés. Le château, bâti dans les années 1480, est aujourd’hui en ruine ; un système de terrasses visible sur un ancien plan rappelle les dispositions présentes à Gaillon. De la chapelle, qui était pavée de faïence et ornée de vitraux, subsistent seulement des stalles ainsi qu’une porte très restaurée. Un document du XVIIe siècle insiste sur la beauté des lieux.

 

Le château de Dissay, en Poitou, est entièrement reconstruit par Pierre d’Amboise, évêque de Poitiers, qui fonde en ce lieu une collégiale à vocation funéraire dont il ne reste qu’un mur sur lequel s’appuient des supports pourvus de niches évoquant celles de la chapelle de l’hôtel de Cluny. La chapelle du château de Dissay conserve quant à elle sa porte et son pavement d’origine (carreaux portant le blason et la devise de Pierre d’Amboise). Un artiste de talent couvrit les murs de peintures dont la scène principale est une monumentale Fontaine de vie.

 

Les chapitres suivants proposent de restituer l’architecture et le décor de la chapelle du château de Gaillon. Le cardinal Georges d’Amboise est à l’origine de la reconstruction du château, quelques années après le projet parisien de Jacques. De nombreuses sources textuelles (dont les comptes de construction édités par Achille Deville) et une iconographie abondante fournissent matière à une étude approfondie : présentation de l’édifice, chronologie des travaux (1498-1510), description de la magnifique chapelle, très admirée par les contemporains et détruite à la Révolution. De 1494 à 1507, Georges d’Amboise suit de près la construction du palais archiépiscopal de Rouen. En 1498, il est à Gaillon en compagnie de deux de ses frères et du général des finances de Normandie Thomas Bohier. Le projet est lancé et, autour de 1500, des sommes de plus en plus importantes alimentent le chantier. Les comptes fournissent le nom des maîtres maçons : Guillaume Senault, déjà actif à Amboise, et surtout Colin Biart à partir de 1504, auquel on attribue la chapelle dont le gros-œuvre est achevé en 1508. A la mort du cardinal en 1510, son neveu Georges II d’Amboise poursuit les travaux. La chapelle, une collégiale bien moins modeste que ce que le projet initial prévoyait, est présentée en fin de chapitre : dispositions intérieures par niveau (chapelle haute, chapelle basse), fonctions, postérité.

 

Des boiseries contribuant autrefois à structurer l’espace liturgique de la chapelle, il subsiste deux vantaux et un bel ensemble de stalles marquetées disposées aujourd’hui dans la basilique Saint-Denis, ainsi que quelques éléments conservés pour la plupart à Ecouen (deux clôtures et deux rangées de prie-Dieu). Plusieurs musées possèdent également des fragments en provenance de Gaillon, comme le Metropolitan Museum of Art. L’histoire de ces éléments est retracée depuis leur démantèlement à la Révolution. Les boiseries sont par la suite étudiées dans le détail : emplacement dans la chapelle, réalisation (ce mobilier présente une admirable combinaison de formes flamboyantes et renaissantes), datation et proposition d’attribution (l’identité du ou des menuisiers responsables de leur exécution reste incertaine), analyse stylistique et iconographique. Si l’influence de modèles italiens est manifeste, elle n’est pas exclusive et l’enluminure a également pu servir de source d’inspiration aux artistes.

 

Le chapitre suivant s’attache à présenter le décor, extrêmement riche, de la chapelle disparue : tribune d’orgue, peintures de priants de la famille d’Amboise attribuées au Milanais Andrea Solario, statues d’apôtres (sculptures en terre cuite dues à Antonio di Giusto Betti, dit Antoine Juste, dont la restauration a permis de révéler la polychromie d’origine), Vierge à l’Enfant, pavage bichrome. L’autel de marbre réalisé par Michel Colombe, dont le retable figurant Saint Georges combattant le dragon est conservé au Louvre, était la pièce majeure de cet ensemble.

 

Les verrières des chapelles de Pierre d’Amboise à Dissay et de Georges d’Amboise à Gaillon sont évoquées dans un même chapitre final. A Dissay, quinze panneaux de verre conservés au château proviendraient de l’ancienne collégiale. D’une iconographie savante et d’une technique aboutie, elles apparaissent isolées dans la production vitrée de l’époque. Les verrières de Gaillon sont quant à elles intégralement détruites, mais les textes apportent quelques informations très utiles (cf. annexe). L’identité des maîtres-verriers est encore débattue : le normand Jean Barbe est présent sur le chantier de 1502 à 1509, et le ligérien Antoine Chenesson est appelé dès 1508 ; si Georges d’Amboise a recouru à plusieurs autres artistes, il a néanmoins confié à Chenesson de grandes responsabilités à Gaillon.

 

La conclusion rappelle les spécificités du mécénat des Amboise, dont le comportement est analogue, à bien des égards, à celui d’autres familles de la haute aristocratie (représentation en donateur, fondation de collégiales). Ils se distinguent pourtant par des projets plus ambitieux et centrés sur la célébration quasi-obsessionnelle de la réussite familiale.

 

En fin de catalogue, le lecteur dispose de deux compléments : un aperçu de l’aspect intérieur de la chapelle de l’hôtel de Cluny au temps d’Alexandre Du Sommerard et des difficultés liées à la gestion d’une telle collection dans cet espace restreint (nécessité de mise en valeur de l’architecture, réintégration d’objets et de mobilier surchargeant épisodiquement la chapelle) ; l’édition d’un document conservé dans la série F des archives départementales de l’Eure relatif à la vente et à la démolition du château de Gaillon (description sommaire des abords de l’édifice, détail des parties déjà abattues, inventaire du mobilier de la chapelle et évocation de son décor).

 

La qualité des textes ainsi que la richesse de l’iconographie (un grand nombre de documents inédits) méritent d’être soulignées ; l’abondante bibliographie figurant à la fin de l’ouvrage est également précieuse. Cette présentation exhaustive des « vestiges » du mécénat de la famille d’Amboise constitue de ce fait une publication de qualité, synthétique et d’une lecture agréable.

 

Sommaire :

 

- Avant-propos, par Francine Mariani-Ducray (directrice des musées de France), p. 7.

- Préface, par Elisabeth Taburet-Delahaye (directrice du musée national du Moyen Âge) et Thierry Crépin-Leblond (directeur du musée national de la Renaissance), p. 9.

- Généalogie masculine de la famille d’Amboise, p. 10.

- Fastes et décors liturgiques de la famille d’Amboise, par Thierry Crépin-Leblond, p. 11-15.

- La chapelle de l’hôtel des abbés de Cluny à Paris, p. 16 :

Architecture et décor sculpté de la chapelle de l’hôtel des abbés de Cluny, par Agnès Bos (conservateur au département des objets d’art du musée du Louvre) et Xavier Dectot (conservateur au musée national du Moyen Âge), p. 18-31.

La chapelle de l’hôtel de Cluny après le XVIe siècle, par Michel Huynh (conservateur au musée national du Moyen Âge), p. 32-41.

Les peintures de la chapelle de l’hôtel de Cluny, par Cécile Scailliérez (conservateur en chef au département des peintures du musée du Louvre), p. 42-47.

Les vitraux de la chapelle de l’hôtel de Cluny, par Sophie Lagabrielle (conservateur en chef au musée national du Moyen Âge), p. 48-55.

- Chapelles épiscopales, p. 56 :

Les travaux de Louis d’Amboise, par Jacques Dubois (maître de conférences à l’université de Toulouse-Le Mirail), p. 58-63.

Pierre d’Amboise et la chapelle de Dissay, par Thierry Crépin-Leblond, p. 64-67.

La chapelle de Gaillon : architecture, par Xavier Pagazani (doctorant en histoire de l’art), p. 68-81.

Les boiseries de la chapelle du château de Gaillon, par Agnès Bos et Jacques Dubois, p. 82-97.

Le décor peint et sculpté de la chapelle du château de Gaillon, par Thierry Crépin-Leblond, p. 98-105.

Les vitraux des chapelles d’Amboise, par Michel Hérold (conservateur en chef du patrimoine, centre André Chastel), p. 106-113.

Conclusion : un programme familial ?, par Thierry Crépin-Leblond, p. 114-115.

- Annexes, p. 116 :

Du Sommerard et la chapelle de l’hôtel de Cluny, par Jean-Christophe Ton-That (chargé d’études documentaires au musée national du Moyen Âge), p. 117-119.

Le château de Gaillon à la Révolution, p. 120.

Bibliographie, p. 121-125.

Liste des œuvres exposées, p. 126-127.

Crédits photographiques, p. 128.